Pour créer les Lamelles de cristal imprimées en 3D, l'artiste Julia Koerner s'est inspirée des structures, des couleurs et des formes des branchies et des lamelles des champignons. Les objets d'art ont été réalisés avec l'aide et le soutien de la société de cristal Swarovski, qui a fourni sa technologie de pointe d'impression 3D sur verre. Les figures inspirées des champignons ont ainsi pu être produites en forme de spirale au cours d'une seule impression.

À l'instar de ce qui se passe dans la nature, les objets imprimés en 3D sont uniques, ce qui signifie que chaque pièce est différente dans les détails. Cela se voit notamment dans les couleurs des sculptures en verre, pour lesquelles Swarovski a joué un rôle déterminant en fournissant sa technologie de coloration à Julia Koerner.

Des chercheurs britanniques et suisses ont créé un mini essaim de drones capables d'imprimer des structures en 3D. Ils se sont inspirés de la manière dont les abeilles ou les guêpes coopèrent pour construire leur nid.

Les drones fonctionnent de manière autonome et coordonnée, avec un superviseur humain qui intervient uniquement en cas de problème. Certains sont équipés d'une tête d'impression, tandis que d'autres sont équipés de capteurs pour évaluer la précision de l'impression et s'assurer que les différentes couches sont parfaitement alignées. La tête d'impression peut également être ajustée afin de compenser les mouvements du drone, ce qui permet d'atteindre une précision de l'ordre de cinq millimètres.

Avec les méthodes actuelles d’impression 3D de bâtiments, l'imprimante doit être plus grande que la structure produite. Avec les drones, il n'y a pas de limites. Ils pourraient notamment être utilisés pour les sites de construction difficiles d'accès, comme en montagne, ou encore pour reconstruire le haut d'une tour sans avoir besoin d'échafaudage.

La startup espagnole AldoraTech fabrique des drones fonctionnels qui intègrent des pièces imprimées en 3D et des matériaux composites. Plus précisément, ses solutions sont utilisées pour divers types de missions, notamment la livraison de marchandises et les colis du dernier kilomètre.

L’un des objectifs que l’entreprise souhaite atteindre grâce à ses drones est de réduire de 80 % les émissions de carbone émises par le transport logistique. Ce qui frappe dans ces drones, c’est qu’ils sont modulaires, c’est-à-dire qu’ils peuvent être adaptés aux besoins de chaque client.

En plus de raccourcir les délais de livraison, ils peuvent créer des aéronefs plus grands pour des marchandises spécifiques. Et cela est possible grâce à la polyvalence et à la flexibilité offertes par la technologie d’impression 3D.

Les dangers invisibles qui surviennent lors de l'application de la chaleur au substrat peuvent rendre le processus d'impression 3D dangereux dans un environnement non contrôlé.

Un nouveau rapport du Chemical Insights Research Institute, en partenariat avec l'école de santé publique de l'université d'État de Géorgie, montre que les particules libérées dans l'air lors de l'impression avec des appareils FFM (fabrication de filaments additifs) et respirées par les utilisateurs peuvent contribuer aux risques pour la santé humaine, notamment aux lésions et inflammations cellulaires.

Selon Marilyn Black, titulaire d'un doctorat et vice-présidente et conseillère technique et stratégique principale du Chemical Insights Research Institute d'Underwriters Laboratories, la pollution particulaire libérée par les imprimantes 3D de l'étude était constituée de particules ultrafines qui peuvent être facilement inhalées dans le système respiratoire.

McLaren s'appuie sur l'impression 3D et produit jusqu'à 9000 pièces automobiles par an pour l'aile avant arrière, qui est plus grande que la carrosserie et les pièces ci-dessus en seulement trois jours.

Selon l'équipe, ces composants feront de grands progrès dans l'optimisation de l'aérodynamique du véhicule à partir des essais en soufflerie.

Des pièces plus précises grâce à l'impression 3D Outre l'aspect qualité, le temps de production des pièces a été fortement réduit.

Cela permet à McLaren de produire rapidement et à un prix plus rentable

En février de cette année, le ministère de la Défense (DoD) a publié une évaluation des chaînes d'approvisionnement critiques pour la défense. Le rapport recommandait une utilisation accrue de l'impression 3D pour assurer le succès des missions, un conseil que l'armée américaine applique déjà.

Le centre d'excellence de fabrication additive de l'Arsenal à Rock Island, par exemple, abrite une grande collection d'équipements d'impression 3D. En janvier, l'établissement a annoncé qu'il attendait une deuxième imprimante 3D pour le métal, qui exploitera la technologie de fabrication métallique à grande vitesse pour imprimer rapidement des outils et des pièces de rechange.

Plus récemment, en juin, l'arsenal a révélé qu'il accueillerait bientôt la plus grande imprimante 3D métal du monde, la Jointless Hull Large Format Tool. L'imprimante sera capable d'imprimer du métal sur une longueur de 30 pieds, une largeur de 20 pieds et une hauteur de 12 pieds.

Dans un contexte de croissance, HP a décidé de lancer la commercialisation de sa solution 3D métal.

Selon un rapport publié par Allied Market Research Research, la valeur de l'industrie de la fabrication additive industrielle devrait atteindre plus 100 milliards de dollars d'ici 2031, soit un croissance annuelle estimé à environ 22 % !

Les besoins de production sont des outillages divers et variés, des prototypes mais aussi des pièces finales.

L'arrivée d'une solution clé en main de HP rejoint cette croissance et permet aux utilisateurs de concevoir des pièces plus rapidement.

Nombreux sont les ingénieurs, designers et autres professionnels à utiliser la technologie résine.

Car elle permet d’obtenir des détails plus fins, mais aussi une finition de surface très lisse, le tout avec une grande précision.

Mais les avantages ne sont pas que visuels car elle possède des caractéristiques mécaniques très intéressantes comme l'étanchéité des pièces, la diversité du type de résine mais aussi l'isotropie de la pièce.

En langage simple cela signifie que les propriétés mécaniques d’une pièce remplie sont identiques dans toutes les directions ce qui n’est pas forcément le cas avec du FDM.

C’est la société Hermeus qui développe ces avions hypersoniques. Elle imprimera des pièces grâce à l’imprimante Sapphire de chez Velo3D.

Le but est de réduire les coûts et le poids de l’avion, mais aussi d’augmenter la vitesse.

Les pièces imprimées en 3D composeront le moteur Mach 5 Chimera, capable d’aller une vitesse supérieure à 6000 km/h, mais aussi l’avion QuarterHorse.

L’US Air Force a investi 60 millions de dollars dans ce projet.

En 2022, IKEA ouvrira plus de 150 postes dédiés à la technologie et à l’innovation en Europe.

Il s’agit donc de tendre la main aux gens qui partagent ses valeurs et sa vision : proposer 50 % de plats principaux à base végétale dans les restaurants IKEA d’ici 2025 ! La technologie et le développement durable se rencontrent !

IKEA invite les candidats à apporter leurs idées et à essayer des boulettes de viande expérimentales à base de plantes préparées avec une imprimante 3D. Ces boulettes de viande imprimées en 3D, jamais servies auparavant, sont offertes dans le cadre de sa campagne de recrutement « Taste the Future », qui a été lancée le 1er février 2022. La campagne vise à attirer un éventail diversifié de talents grâce à un entretien d’embauche unique.

Certains parlementaires réfléchissent à cette nouvelle loi. Deux raisons à cela, surveiller davantage les personnes qui vendent leurs création sans les déclarer et nous savons qu’ils sont nombreux et prévenir les risques de fabrication d’armes artisanales.

En plus, l'obligation pourrait faciliter dans un second temps la mise en place d’une taxe spéciale. Un peu comme l'impôt si vous possédez une télévision. et vous pensez-vous que l’état va mettre en place une licence ?

Les destructions sont aujourd’hui nombreuses dans ce pays suite au conflit. Pour faire face à ce véritable désastre, des experts cherchent déjà à préparer la reconstruction de l'Ukraine.

Plusieurs sociétés penchent notamment sur l’utilisation massive de l’impression 3D béton pour construire les futurs bâtiments.

Les avantages de l’impression 3D sont nombreux. La construction est plus rapide mais aussi plus économique.

Pour le moment la technologie sera déployée pour construire rapidement des structures de défense comme des abris anti bombes dans les lieux de vie quotient comme les écoles, arrêts de bus et les centres commerciaux.

Et vous, pensez-vous qu’un déploiement massif de cette technologie est possible ou bien le pays sera-t-il ruiné et ne pourra pas mettre en place de grand plan de reconstruction ?

Des maisons peuvent désormais être construites pour 4000€ grâce à l’impression 3D, c’est vraiment bluffant.

Cette pratique se développe de plus en plus, surtout aux Etats-Unis.

Immenses, les imprimantes 3D béton suivent un tracé prédéterminé par ordinateur et utilisent en guise de matériau du béton, à la consistance savamment calculée, puisque les murs sont montés une ligne à la fois.

Chaque couche doit avoir suffisamment séché lorsque la couche suivante est ajoutée au-dessus.

Pour l’immobilier d’aujourd’hui, cela devient une évidence, les prix flambent, les demandes sont plus importantes que les offres.

Donc pour y faire face à cette crise mondiale du logement, ICON entend prouver que la solution réside dans l'impression 3D, avec des maisons de 45 m² construites en seulement 27 heures et pour environ 4000€ !

En effet, Airbus utilise l’impression 3D dans le processus de fabrication de ses avions.

D’ailleurs, le spécialiste de la fabrication additive Stratasys vient d'annoncer une prolongation de son contrat avec Airbus. Le contrat initial portait sur la production de composants intérieurs de cabine en polymères imprimées en 3D.

Cette extension élargit la gamme de pièces imprimées afin d'inclure des pièces de rechange et de remplacement pour la maintenance, la réparation et la révision ainsi que des pièces pour les plateformes d'avion, telles que A300, A330, A340 et A320 en plus de l'A350.

Airbus utilise la technologie de Stratasys depuis plusieurs années. En 2013, les deux entreprises ont travaillé à l'implantation de la technologie du dépôt de fil fondu (FDM) dans la fabrication d'outillage et de pièces finies pour les avions. Depuis, le constructeur aéronautique a annoncé avoir dépassé le seuil des 1000 pièces de vol imprimées en 3D pour ses avions A350 XWB.

D’après le patron de Europol Martin van der Meij « la menace posée par les armes imprimées en 3D est très présente »

Et il y a même certains gouvernement européen réfléchisse à encadrer l’utilisation de l’impression 3D. Comme par exemple être présent sur un registre si vous possédez une imprimante 3d ou des bridages de machine ou d’autres choses.

Allez faire un tour sur notre article qui explique le sujet.

Le concept parait un peu fou dit comme ça, mais il est pourtant totalement réaliste.

Grâce aux progrès de l’impression 3D et de la diversité des matériaux toujours plus importante, il est possible depuis peu de temps d’imprimer toute sorte d’aliment.

Nous ne sommes pas encore au stade où les particuliers peuvent le faire chez eux, car c’est encore aujourd’hui bien trop couteux, mais les prix de l’impression coûte de moins en moins chère.

Comme vous pouvez le voir, l’idée de ce restaurant est de remplacer les cuisiniers par des imprimantes 3D.

Vous choisissez ce que vous désirez via la tablette, et l’imprimante vous sors votre plat quelques minutes plus tard.

Aujourd’hui il existe des restaurants même en France qui utilisent l’impression 3D pour des composants de leurs plats, mais pas encore pour des plats entièrement imprimés.

Nous pouvons espérer que dans un avenir proche cela soit enfin réalisable et de voir débarquer ce genre de restaurant en France !

Le Self-assembly Lab du MIT a lancé en 2013 la création de l’impression 4D.

L'impression 4D est le processus par lequel un objet imprimé en 3D peut modifier lui-même sa structure et changer de forme avec l'impulsion d'une énergie extérieure comme la température, la lumière ou un d'autres stimuli environnementaux.

L’impression 4D se fait généralement grâce à des polymères à mémoire de forme (PMF) qui sont des matériaux capables de mémoriser une forme macroscopique, de la conserver pendant un certain temps, et de reprendre leur forme d’origine sous l’effet de la chaleur, sans déformation résiduelle quelconque.

Cette nouvelle technologie n’est pas encore commune dans le milieu de l’impression, mais dans un avenir proche elle pourrait bouleverser les secteurs industriels.

La réponse est oui.

En réalité ce n’est pas aussi facile que d’imprimer simplement l’aliment de votre choix, mais le résultat est quand même bluffant.

• Comment cela se passe ?

Grâce à de la farine dégraissée et de l’eau, des chercheurs on réussi à créer une pâte imprimable grâce à l’impression 3D.

Comme vous pouvez le voir, l’aliment ne ressemble pas totalement à un aliment que l’on a l’habitude de manger, mais c’est déjà un progrès assez incroyable.

• Mais vous me direz finalement à quoi ça sert ?

C’est une bonne question, en réalité ce projet peut être très intéressant pour créer des aliments de substitutions à des aliments en pénuries, mais aussi imprimer ce genre aliment ne coute quasiment rien.

Il y a simplement un coût sur l’imprimante 3D, mais elle sera vite rentabilisée.

On on a pris un exemple de pop culture pour illustrer nos propos, mais nous aurions pu choisir le domaine aéronautique, spatial, ou même industriel.

Pour définir à quoi ressembleraient les antagonistes de la série, ces monstres-ci (videos de la série), les producteurs de la série ont imprimé en 3D ces demongordons, afin d’avoir un rendu réel et de pouvoir les retoucher au mieux.

L’interêt de l’impression 3d pour le prototype n’est pas nouveau, car depuis bien longtemps les grands groupes industriels utilisent cette technologie.

En effet, elle permet d’isoler certains défauts de conception et de multiplier les itérations pour obtenir une pièce conforme au cahier des charges.

Certains vont nous dire que cette technologie est déjà bien présente et déjà très utilisée, nous sommes plutôt d’accord.

Mais nous pensons que nous en sommes qu’au début de la généralisation de l’impression 3D.

Quand nous parlons de généralisation, nous ne voulons pas dire que tout le monde aura chez lui une imprimante 3D, mais que de plus en plus d’entreprises feront appel à cette technologie.

Evidemment pas mal de raisons nous font dire ça, mais la première concerne surtout les coûts.

En effet, aujourd’hui en France nous importons, ce qui coûte de plus en plus chère, notamment à cause de l’augmentation des prix des énergies premières et des différents conflits.

Nous aurons donc en France de moins en moins le choix que de produire local, or nous savons que pour être rentable chez nous, l’économie d’échelle doit être importante.

L’impression résout ce problème, car jusqu’à un certain nombre d’impression, les économies sont énormes, que ce soit pour le prototypage ou même une partie de chaîne de production.

Ceci n’est qu’une première partie de notre raisonnement, mais nous ferai une vidéo beaucoup plus longue sur l’avenir de l’impression 3D.

Pour débuter nous vous conseillons le très bon blog du fabricant PrusaSlicer. Vous pourrez apprendre plein de chose concernant l’impression 3D.

Ensuite vous devez apprendre à modéliser des objects en 3 dimensions. Pour cela il existe plusieurs logiciels comme SketchUp par exemple. Vous trouvez sur chacun des sites officiel des blogs vous expliquant comment les utiliser.

Deuxièment vous devez manipuler un logiciel Slicer. Ce logiciel vous permet d’indiquer la résistance de votre création. Il y en a plusieurs sur le marché gratuitement disponible comme PrusaSlicer ou Ultimaker Cura.

Enfin, il ne vous reste cas dompter l’imprimante 3D.

Pour les débutant je vous invite à acheter directement votre machine et votre file d’impression PLA sur Amazon. Je peux vous conseiller la Creality Ender 3D.

Le plus simple pour vous former peut être aussi de vous former avec un coach individuel de La Nouvelle École.

Ils appellent cela des super selfies 3D.

Le principe est simple. Il produise des corps de figurines identiques et vont ensuite vous demander une courte vidéo de votre visage. Ils vont pouvoir le modéliser en 3 dimensions et l’imprimer en 3D votre tête avec une imprimante résine.

Ensuite il leurs suffit d’attacher votre tête miniature sur le corps de la figurine et vous obtenez une figurine de vous même.

Si une personne mal intentionnée arrive à se procurer une photo de vos clés, soit car vos clés sont en arrière plan d’une photo sur les réseaux sociaux, soit via une photo prise à votre insus, elle peut, grâce à l’impression 3D, imprimer vos clés.

Suivant le type de clé il peut être très facile de la reproduire avec une imprimante 3D.

Il suffit pour le cambrioleur d’importer la photo de votre clé sur un logiciel de modélisation 3D comme SketchUp et de reproduire la clé en 3D.

Ensuite l’individu va exportez le fichier 3D de la Clé sur un logiciel de découpe 3D. Sur le logiciels ils vont indiquer une densité de 100 % pour rendre le model de la clé résistante et vont ensuite lancer l’impression de la clé avec une imprimante 3D.

Les cambrioleurs obtiennent donc une répliquer de votre clé. Evidemment la réplique de la clé n’est pas aussi résistante qu’une clé en métal, mais cela peut largement faire l’affaire pour quelques ouvertures.

Les malfrats n’ont donc plus qu’a attendre le moment ou vous n’êtes pas chez vous pour rentrer dans votre domiciles.

Attention à vous si vous laissez vos clés à la vu de tous car l’été est une période propice au cambriolage.

Désormais les industriels vont pouvoir imprimer en 3D des filament en tungstène. Le matériel est très dense et à une température de fusion très élevée de 3422°C.

Cela ouvre donc la voie à de nouvelles applications. Comme des systèmes de protection contre les radiations, ou des applications dans la défense ou l’aérospatiale pour fabriquer par exemple des pièces de moteur de fusée, ou des obus.

Niveau composition le filament de tungstène est composé de 92 à 95 % de tungstène et complétée avec du PLA.

Pour la première fois, une imprimante 3D métallique sera présent sur le porte-aéronefs USS Essex. Le but est de tester le concept en conditions réelles avant un déploiement massif.

L’imprimante va pouvoir produire des pièces de rechange à partir d’un fil d’aluminium fondu. La marine américaine veut ainsi augmenter l’autonomie de ça flotte en haute mer.

Le nombre de saisie d’armes 3D est en augmentation partout en Europe et plusieurs crimes ont été commis avec ce type d’engin.

L’agence à annoncé la création d’un réseau international d’expert en armes à feu 3D afin de suivre l’évolution de la technologie.

Même si la résistance des matériaux limite pour le moment l’utilisation de ce type d’armes. L’Europe est aujourd’hui le continent leader des inventions et des bérets du secteur 3D. De plus certains modele combine l’utilisation de la 3D et des pièces métallique plus classique.

Des passionnés d’impression 3D utilisent leurs imprimante pour créer des figurines de représentants politiques.

Soit en guise de soutient à leurs candidats soit pour se moquer d’eux !

Certains imprime aussi caganer catalan à l’image de leurs adversaire politique.

Rendez-vous sur Google Maps.

Faite une capture d’écran de votre ville.

Importez la capture d’écran dans SketchUp. Créer un carré puis détouré les routes et mettez du relief.

Ensuite exportez votre fichier en .stl importez le sur PrusaSlicer. Paramétrez correctement votre fichier puis lancez l’impression 3D.

Le fonctionnement est ingénieux ! Il comporte trois parties :

• Un filtre

• Un indicateur de couleur imprimé en 3D

• Une simple bouteille d’eau.

La chaleur du soleil va tuer les bactéries dans l’eau de la bouteille et le filtre va retirer les particules troublent l’eau.

Une fois l’eau décontaminé l’indicateur de couleur va indiqué la potabilité de l’eau.

L’intérêt de ce purificateur est qu’il est extrêmement économique car la fabrication 3D est très bon marché. En plus il est simple d’utilisation. Cette technologie va pouvoir aider et sauvé des millions de personnes !

Une start-up française Latitude a présenté son première prototype de moteur de fusée développer avec de l’impression 3D

Ce moteur devrait permettre de déployer un nanolanceur sur orbite et pourra embarquer une centaine de kilogrammes de charge.

Le but d’utiliser l’impression 3D est de proposer des coûts de lancement plus abordable, à savoir environ 35 000 euros par kilogramme.

Chaque année 7 trillions de cigarette sont consommés. Cela pose évidemment des problèmes de santé mais aussi de pollution.

Une entreprise basque développe un processus de recyclage des mégots pour les transformer en filaments d’impression 3D ou en isolant pour la construction.

La difficulté c’est de retirer tous leurs éléments polluants. Il faut donc faire passer les mégots dans un processus de lavage avant de fabriquer des bobines de matière utilisable par les imprimantes 3D.

Des anglais ont réussi à capter et à transformer la pollution de l’air et le CO2 en biomasse pouvant être utilisée pour concevoir des objets via de l’impression 3D.

Le principe est très simple. Des algues absorbe ces polluants et produise de la biomasse. La biomasse est ensuite récoltée et transformée en bioplastique pour fabriquer des filaments d’impression 3d.

Vous pouvez ensuite utiliser ces filaments plastiques pour imprimer n’importe quelle object avec une imprimante 3D.

Hollywood utilise depuis des années l’impression 3D pour fabriquer facilement des accessoires.

Mais la technologie était pendant longtemps réserver à un usage professionnel car le prix d’une machine trop important.

Mais depuis quelque année des machines grands publiques sont apparut. Très vite des passionnés ont mis l’impression 3D au service de la fabrication de pièce de costume. Les avantages sont nombreux.

Vous pouvez facilement créer des pièces avec des formes complexes.

La production d’une pièce est très économiques. 1kg de plastique ne coute pas plus de 20 euros.

Et en plus il existe une grande communauté de passionné qui diffuse des fichiers 3D des pièces de costumes.

L’impression 3D est déjà utilisée dans pas mal de secteur industriel, et désormais le Rock Island Arsenal de l'armée américaine s’attaque à la fabrication de véhicules militaires. Le but est de renforcer le blindage des châssis des chars et des véhicules blindés légers.

Avec l’impression 3D métal, les fabricants évitent d'avoir à construire un énorme four pour façonner des pièces renforcées de blindage. Pratique et économique.

Dans l’Indre-et-loire des pièces de train vont être fabriquez via l’impression 3D. Pourquoi ? Car beaucoup de matériel roulant arrive à obsolescence et certaines pièces de rechange n’hésite plus. Le problème est que fabriquez une pièce de rechange à 1 ou 5 exemplaires coute très chère.

Il va valoir fabriquer un moule spéciale et les délais sont très longs, de 4 à 6 mois. Sachant qu’un train à l’arrêt peut représenter une perte jusqu’à 10.000€ par jour.

Avec l’impression 3D vous n’avez plus ce problème. Vous pouvez facilement créer une pièce et pour pas chère car vous ne devez par à fabriquer de moule. Le prix d’une pièce via la 3D peut être jusqu’a dix fois moins cher au kilo pour les petite série de 1 à 5 pièces. Donc c’est très intéressant.

Pas moins de 2,6 millions d’hectares ont ainsi été victimes d’incendies en 2021, rien qu’aux États-Unis.

Aux États-Unis les pompiers utilisent des drones pour connaitre en directe le développent du feu et le combattre plus efficacement. Le problème étant que les drones classique ne peuvent pas résister au haute température.

C’est la raison pour la quelle des drones anti-incendies ont été développé grâce à l’impression 3D.

Construit en nylon et résistant aux hautes températures les pièces peuvent être facilement changées en cas de dommage dû aux fortes chaleurs. Effectivement l’impression 3D permet de créer facilement et pour pas chère des pièces détachées.

Un chirurgien a greffé un implant d’oreille à partir de cellules humaines et d’une imprimante 3D !

Pour créer cette oreille, il ont collecté des cellules de cartilage de sa 1ère oreille puis les mises en culture dans une coque imprimée en 3D pour soutenir le développement.

La coque est ensuite absorbée par le corps du patient avec le temps. L’oreille greffée est supposée développer progressivement l’aspect et le toucher d’une oreille naturelle, y compris son élasticité.

Pour les personnes l’ignorant le béton a besoin de sable. Mais pas n’importe quel sable, soit du sable de rivière, soit du sable de côte.

Extraire ce sable pose d’énorme problème écologique car vous allez devoir dévaster l’écosystème environnant.

Mais grâce à un mélange comprenant un ciment classique, de l’eau, des additifs et du verre recyclé qui a été broyé vous obtenez un fluide résistant au contraire mécanique répond aux normes industrielles.

Avec ces caractéristique très encourageante il offre la possibilité d’être utilisé par des imprimantes 3D dans de la fabrication de bâtiment.

Rendez-vous sur cults 3D.

Puis téléchargez un modèle de figurine Lego puis importer le sur SketchUp. Apportez les modifications que vous souhaitez puis téléchargez le fichier en .stl sur Cura.

Adaptez la résistance de la figurine puis lancez l’impression 3D.

Rendez-vous sur map2stl.com.

Trouvez votre ville sur la carte.

Paramétrer correctement votre modèle.

Importer votre modèle en .stl sur PrusaSlicer.

Paramétrer correctement la résistance de votre ville.

Puis lancez l’impression et vous obtenez votre carte en 3D. Vous pouvez même la peindre.

Si vous voulez apprendre à faire pareil et à utilisez l’impression 3D rendez-vous sur le lien en bio.

Cette technique est valide si vous ne trouvez pas une pièce pour votre véhicule car elle n’est plus fabriquée ou bien vous devez l’importer.

Vous pouvez essayer de l’imprimer en 3D. Souvent des fichiers 3D sont présents sur le web mis à disposition par d’autre passionnés et sinon vous pouvez la concevoir sur un logiciel de création.

Evidemment vous n’allez pas pouvoir imprimer un pot d’échappement sauf si vous avez du matériel de pro mais pour des petites pièces c’est largement possible.

Comment détruire des Lamborghini sans se ruiner. Faites tout simplement comme à Hollywood.

Ils produises avec l’impression 3D des coques de Ferrari, Lamborghini et ensuite ils mettent ces coques sur des chassies de veilles Toyota. Un peu de peinture et le tour est joué.

Vous ne voyez pas la différence et vous pouvez pour quelque milliers de dollars exploser des dizaines de voitures de sport.

Le pistolet Liberator fabriqué entièrement en plastique avec une imprimante 3D ne pourra pas être détecté dans des portiques de sécurité si vous prenez un avion.

En plus, les fichiers pour fabriquer ce pistolet se trouvent facilement sur internet et à la portez de tous.

Néanmoins je vous rassure. Pour fonctionner, il a besoin de munitions en métal donc détectable, ainsi que d’un clou métallique pour faire office de percuteur.