Attestation d’autoformation A2 en 30 secondes

L’autoformation A2 fait partie intégrante du parcours réglementaire du télépilote de drone en catégorie ouverte.
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Comprendre l’autoformation A2 pour les télépilotes de drones

L’autoformation A2 fait partie intégrante du parcours réglementaire du télépilote de drone en catégorie ouverte.
Elle s’adresse aux pilotes ayant déjà obtenu le certificat théorique A1/A3 et souhaitant évoluer vers des vols plus proches des personnes, avec un niveau de maîtrise plus avancé.
  • Il s’agit d’un apprentissage autonome, basé sur la pratique, permettant de :

    • comprendre et anticiper les réactions de l’aéronef ;

    • réaliser des manœuvres de précision en environnement réel ;

    • développer les bons réflexes en cas de situation imprévue ;

    • renforcer la connaissance des règles de sécurité et de l’espace aérien.

  • L’autoformation A2 est définie par le règlement européen (UE) 2019/947, qui encadre l’exploitation des aéronefs sans équipage à bord.
    Ce texte impose que chaque télépilote, avant de voler dans la sous-catégorie A2, réalise et atteste une formation pratique autonome, afin d’acquérir la compétence nécessaire pour évoluer en sécurité à proximité de tiers.

  • Contrairement aux formations théoriques A1/A3 et CATS, cette autoformation ne nécessite aucun organisme agréé.
    Chaque télépilote peut s’y consacrer librement, à son rythme, à condition de suivre un canevas structuré et de pratiquer dans un environnement sûr et conforme aux règles aériennes.
    Elle repose sur la responsabilité individuelle du pilote, qui atteste sur l’honneur avoir accompli l’ensemble des exercices demandés.

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Foire aux questions ❓

  • L’autoformation A2 est la phase pratique obligatoire qui complète le certificat théorique A1/A3.
    Elle permet au télépilote d’acquérir, de manière autonome, les compétences pratiques nécessaires pour piloter un drone en catégorie ouverte A2, c’est-à-dire à proximité de personnes, sans les survoler.

  • Non, l’autoformation A2 est une formation libre et personnelle.
    Le pilote s’exerce par lui-même, sur son propre drone, en respectant le canevas officiel recommandé par la DGAC et le règlement (UE) 2019/947.
    Cependant, il peut choisir d’être accompagné ou de suivre un programme structuré proposé par un organisme comme La Nouvelle École pour gagner en efficacité et sécurité.

  • Elle est exigée par la réglementation européenne pour s’assurer que le télépilote :

    • maîtrise les manœuvres de base et d’urgence,

    • sait préparer et sécuriser ses vols,

    • comprend les limites techniques de son drone,

    • et est capable de piloter sans assistance automatique dans des conditions normales ou dégradées.

  • Il n’y a pas de durée imposée par la DGAC.
    Il faut simplement s’exercer à toutes les compétences : préparation du vol, calibrage, manœuvres, gestion d’urgence, ect.
    Le plus important est de valider chaque exercice avant de signer son attestation sur l’honneur.

  • Le télépilote doit s’entraîner à plusieurs séries d’exercices pratiques :

    • Préparation du vol (analyse météo, zone, risques)

    • Inspection du drone (vérification des systèmes et calibrations)

    • Vols en conditions normales (stabilité, trajectoires, altitude constante)

    • Vols en situations anormales (rafales, perte de liaison, RTH, intrusion)
      Ces exercices figurent dans le canevas d’autoformation A2 proposé par La Nouvelle École.

  • Non, aucune preuve ne doit être transmise directement à la DGAC.
    Mais le pilote doit conserver son attestation d’autoformation signée, ainsi que son journal de vol.
    En cas de contrôle, il doit être capable de présenter ces documents pour prouver qu’il a bien suivi la formation pratique.

    • Le drone utilisé doit être adapté à la sous-catégorie A2 :

      • Poids inférieur à 2 kg,

      • Marquage CE de classe C2,

      • Mode de vol lent (“Low Speed” ou “Tripod”) disponible,

      • Et limite de hauteur paramétrable.
        Si ton drone n’a pas d’étiquette C2, il reste possible de t’entraîner avec un drone équivalent en masse et fonctionnalités.

  • Non, l’attestation d’autoformation A2 est remplie et signée uniquement par le télépilote.
    La Nouvelle École propose un modèle officiel pour vous aider à la générer, mais n’effectue aucune validation.
    La conformité repose sur la bonne foi et la responsabilité du pilote.